suite de ma petite (et interminable) histoire...

Leurs déenbulations les menèrent jusqu'à la cave qui était interdite d'accès aux élèves. Leur agresseur poussa la porte d'un violent coup de pied et les fit entrer ;il furent interloqués de retrouver baillonés et ligotés à leur chaise, leurs trois ennemis jurés : Francis, David et Gaspar. Ils perdaient tout de suite leurs grands airs attachés ainsi et les cinq autres les auraient bien laissés mourir sur place. Le bonhomme les enferma et le bruit de ses pas s'éloignèrent dans l'escalier en fer. "Comme on se retrouve,lança Gus. _Ca va, vous êtes bien installés?renchérit Martin en les regardant trembler de rage sur leur chaise. _Vous voulez du thé?". David gigota pour donner un coup de pied dans la jambe de Narcisse qui venait de lancer la vanne, mais le rata et fit basculer sa chaise en arrière dans son élan.Tandis qu'il s'écroulait par terre, les autres réfléchirent à la situation. "On va sûrement passer la nuit ici, ça m'étonnerait qu'il nous libèrent de sitôt, commença Gaël. _Ils sont là depuis quand les autres allumés là??demanda Gus _Il faudrait leur demander.... _Bon, qui on débaillonne?s'exclama Narcisse _David, c'est le chef de la bande." Ils attrapèrent David par la chaise et lui retirèrent le foular autour de sa bouche. "C'est pas trop tôt.... _Dis-nous plutôt depuis quand vous êtes ici? _Trois heures à peu près, et..." Trop tard, Martin lui avait déjà enfoncé le morceau de tissu dabs la bouche: "C'était tout ce qu'on voulait savoir..." Il commençait à faire froid et il devait déjà faire nuit à l'extérieur. "Il vaudrait mieux qu'on dorme, on verra ce que l'on fait demain matin..." Lorsqu'ils se réveillèrent le lendemain, ils étaient toujpurs dans la cave, mais les trois autres prisonnier étaient absents, et la porte grande ouverte.Ils se ruèrent dehord en courant dans l'escalier qui résonnait des pas des élèves qui entraient en cours quelques étages plus haut. Arrivés au rez-de-chaussée, personne ne fit attention à eux, à cette hheure beaucoup d'élèves se baladaient dans les couloirs. Ils demandèrent à quelques uns s'ils avaient vu la bande des trois chieurs, mais tous répondirent que non.Ils n'avaient pourtant pas rêvé; ils partirent vers la salle des profs pour raconter leur escapade...